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Explore the inconceivable tragedy of forced adoption and child trafficking, revealing the devastating impact on families & the systemic betrayal behind it
Adoption and Child Trafficking: A Hidden Systemic Betrayal
The inconceivable tragedy of forced adoption and child trafficking is a reality that many families have faced, yet it remains hidden in plain sight. Lives are shattered, not by chance, but by a systemic betrayal that exploits the most vulnerable. Children are torn from their families, and mothers are denied their most basic rights, all under the guise of protection. This page exposes the devastating consequences of these practices, sharing the untold stories of those affected and the systems that enabled their suffering. It is a story of profound injustice—one that is impossible to ignore, and one that demands accountability.
Gedwongen Adoptie en Kinderhandel: Een Verborgen Systematische Verraad
De onvoorstelbare tragedie van gedwongen adoptie en kinderenhandel is een realiteit waarmee veel families geconfronteerd zijn, maar die vaak verborgen blijft. Levens worden verscheurd, niet door toeval, maar door een systematische verraad die de meest kwetsbare mensen uitbuit. Kinderen worden van hun families gescheiden, en moeders worden hun meest basale rechten ontzegd, allemaal onder het mom van bescherming. Deze pagina onthult de verwoestende gevolgen van deze praktijken, door de onbekende verhalen van de getroffen mensen te delen en de systemen die hun lijden mogelijk maakten. Het is een verhaal van diepe onrechtvaardigheid—een verhaal dat onmogelijk te negeren is en dat om verantwoordelijkheid vraagt..
Push for WA inquiry into forced adoptions to address ‘dehumanising’ toll on survivors |ABC News
Mothers pressured to give up their babies have joined adoptees in calling for an inquiry into their treatment saying it was similar to baby trafficking.
The women haunted by forced adoptions looking for answers | ITV News
9 jul 2024
In the decades after the war, nearly 200,000 unmarried women were forced and shamed into giving up their babies for adoption in England and Wales.
This is the harrowing story of mothers still traumatised by the cruelty they faced for getting pregnant out of wedlock, and their decades-long search for justice.
Between 1949 and the mid 1970s, thousands of women were sent away to mother and baby homes run by churches and the state – places of secrecy, cruelty and even abuse – where babies were put up for adoption or died through poor care.
ITV News has investigated one home in south Cumbria. Burial records obtained through a Freedom of Information request revealed that 45 babies are buried in unmarked graves close to the institution.
When Justice Adoptions forcées : le marché des enfants belges | #Investigation
4 dec 2024
À chaque pas qu’il pose sur la plage de Malo-les-bains, Christophe de Neuville tente de se rapprocher un peu de sa mère biologique. Il veut sentir des odeurs et des sons qu’elle a peut-être perçus, elle aussi, il y a près de 65 ans. C’est le seul ” contact ” qu’il puisse envisager pour le moment.Christophe est né sous X près de Dunkerque. Sa mère l’a abandonné à la naissance dans le plus grand anonymat.
Comme beaucoup d’autres enfants belges, il est né dans une clinique privée du nord de la France et s’est retrouvé 3 jours plus tard exfiltré en Belgique.Arraché à sa mère dès la naissance, il a été parachuté dans sa future famille adoptante en toute illégalité.Des milliers d’enfants belges et des milliers de mères ont fait partie de ce qui ressemble bien à un vaste trafic d’enfants de l’après-guerre aux années 80. Plusieurs institutions catholiques belges et plusieurs asbl comme l’Œuvre d’adoption ont contourné la loi française de la naissance sous X. Cette loi prévoit que les enfants nés sous X soient déclarés à la DDASS et deviennent pupilles de la nation, puis proposés à l’adoption.Ici, un simple acte de naissance était enregistré à la mairie, puis le nourrisson se volatilisait vers la Belgique. Quelques mois plus tard, une certaine Thérèse Wante à l’origine de l’Œuvre d’adoption sollicitait auprès du Tribunal de première Instance de Dunkerque de devenir la tutrice légale du bébé. Citoyenne belge, elle obtenait sans souci de ce Tribunal le titre de tutrice d’un bébé résidant sur le sol belge mais pourtant né en France.
Christiane Paligot, née elle aussi sous X, à Malo-les-bains, à quelques heures d’intervalle de Christophe a remué ciel et terre et a fini par obtenir du Médiateur de la République une lettre stipulant noir sur blanc que cette procédure était illégale et qu’il s’agissait bien d’une filière. Le tout donnant droit à réparation. Mais jusqu’ici Christiane n’a rien obtenu même pas un nouveau rendez-vous avec le Médiateur.Pour éviter une procédure longue et coûteuse, risquée aussi contre l’Etat français, Anne Borgniet, née dans les mêmes conditions, a fini par accepter les 6000 francs français proposés à l’époque, soit 150 euros !” Voilà ce que je vaux “, témoigne-t-elle.
Côté belge, rien n’est simple non plus et beaucoup de questions se posent sur la légalité de ces adoptions. Ainsi les bébés séjournaient chez leurs futurs parents durant de longs mois sans aucun papier, sans être déclaré à l’Office des étrangers. Enfin lorsque Thérèse Wante était officiellement désignée tutrice, de manière illégale, elle entamait avec les parents adoptants une procédure d’adoption devant un notaire, procédure ensuite validée par un Tribunal belge.Tous ces enfants étaient aussi visiblement vendus par les institutions d’adoption. Les parents du père et de la mère biologique et les parents adoptants étaient sollicités pour mettre la main au portefeuille. Les sommes variaient en fonction des revenus mais elles pouvaient monter jusqu’à 150.000 francs belges, soit 20 fois plus que le salaire moyen d’un employé à l’époque.
Le dossier avait été révélé il y a dix ans devant le Parlement flamand. On en a reparlé il y a peu dans les travées du Parlement fédéral. Les adoptés belges étaient là et ont entendu de la bouche de l’ex Premier ministre Alexander de Croo qu’il fallait qu’une enquête soit ouverte.C’est précisément ce que désirent toutes ces victimes. Elles réclament qu’une commission parlementaire fasse la lumière sur ce vaste scandale qui concerne aussi des enfants nés en Belgique. Christophe de Neuville a créé une association. Il vient de déposer plainte devant le Justice. Sa plainte devrait se retrouver dans les mains du Parquet fédéral.
0:00 Adoptions forcées : le marché des enfants belges | #Investigation
ENFANT VOLÉ : LA VÉRITÉ CHOQUANTE DERRIÈRE L’ADOPTION INTERNATIONALE
21 sep 2023 PARIS
Dans cette vidéo poignante, plongez dans l’histoire incroyable de Thomas, un enfant adopté qui découvre, des années plus tard, l’effroyable vérité sur ses origines. Arraché à sa mère biologique au Sri Lanka dans les années 80, il raconte comment un simple reportage a bouleversé sa vie en dévoilant un réseau de trafic d’enfants orchestré par des juges, des politiques, et des intermédiaires sans scrupules.
De la découverte du scandale à la recherche de ses parents biologiques, en passant par les retrouvailles émouvantes avec sa mère, ce témoignage expose les dessous sombres de l’adoption internationale et les souffrances des enfants déracinés. Aujourd’hui, il se bat pour que justice soit faite et pour que l’adoption internationale soit mieux encadrée, afin de protéger les futurs enfants de ce genre de pratiques.
👉 Dans cette vidéo, vous découvrirez :
Comment un simple documentaire a tout révélé sur ses origines.
Le parcours difficile pour retrouver sa famille biologique au Sri Lanka.
Les méthodes choquantes de trafic d’enfants et les “baby farms”.
Les retrouvailles bouleversantes avec sa mère biologique et sa famille.
Son combat actuel pour changer les lois et protéger les enfants adoptés.
Les réalités cruelles de l’adoption internationale et les conséquences sur les enfants adoptés.
Cette vidéo est plus qu’un témoignage, c’est un cri d’alarme sur un système défaillant qui a brisé des milliers de vies. Un récit puissant qui donne une voix à ceux qui ont été réduits au silence pendant trop longtemps.
ÊTRE ADOPTÉ : UNE SOUFFRANCE SECRÈTE
4 jul 2021
Les chiffres sont secrets et tabous en France : officiellement 2 % des adoptions sont vouées à l’échec. Mais officieusement, les spécialistes parlent d’un cas sur dix… Les échecs de l’adoption, on en parle peu, pourtant, des histoires déchirantes d’enfants adoptés remis aux institutions ou renvoyés dans leur pays d’origine sont bien réelles.
L’adoption est une greffe délicate, une histoire d’amour qui réussit souvent, qui échoue parfois. En France, des enfants d’abord adoptés sont rendus aux services sociaux ou renvoyés dans leur pays d’origine, abandonnés une seconde fois. Il n’est pas facile de devenir du jour au lendemain parent d’un enfant qui débarque avec un passé, comme il n’est pas facile pour un enfant d’adopter de nouveaux parents. Le rêve de certaines familles adoptives peut se transformer en profond désarroi.
David, Sonia, Maylis, Anne-Laure, Julien et Sangitta ont tous été adoptés. Nés au Népal, en Ethiopie, en France ou ailleurs, ils ont grandi dans une famille qui ne les a pas mis au monde. Orphelins ou abandonnés, ils ont déjà vécu plusieurs vies et portent en eux les cicatrices de leur passé. Aujourd’hui adultes, ils témoignent des bonheurs et des difficultés de l’adoption et nous font passer de l’autre côté du miroir pour nous raconter leur histoire. À travers leur parole, nous revivons de l’intérieur tout le parcours de l’enfant adopté, ses échecs, ses dérives, ses tabous. L’idée de ce documentaire est d’essayer de bien comprendre, au-delà de l’histoire personnelle des uns et des autres, ce qui dans le système de l’adoption ne fonctionne pas.
Des questions doivent enfin être posées, alors qu’en France une réflexion sur une « réforme de l’adoption » est toujours en cours.
• Est-ce que tous les enfants sont adoptables ?
• Les bonnes intentions font-elles les bonnes adoptions ?
• Les parents sont-ils les seuls responsables d’un échec ?
• Les professionnels de l’adoption jouent-ils leur rôle de prévention ?
L’adoption reste un moyen privilégié pour créer une famille, mais cette manière de devenir parent ouvre aussi le débat sur la détresse de certaines familles, sur des symptômes d’enfants difficiles à contenir, sur la solitude de certains pères et mères et tente de donner des pistes de prise en charge par les professionnels pour répondre à ces nouveaux besoins d’aide et d’accompagnement.
Première diffusion le 01/05/2011
Un film de Bruno Joucla et Sarah Lebas
Envoyé spécial – Les enfants perdus du Sri Lanka
23 jun 2019
Adoptés par des Français au Sri Lanka dans les années 1980, Champika et Rohan ont récemment découvert l’existence d’un vaste trafic d’enfants à la même époque. Des milliers de bébés sri lankais auraient été abandonnés, parfois volés à leur mère biologique, pour être ensuite revendus à des couples européens. Champika et Rohan ont-ils été victimes de ce trafic ? Qui est responsable ? Notre équipe les a suivis pour Envoyé Spécial dans leurs recherches pour connaître la vérité.
Reportage : Nicolas Bertrand, Marine Giraud, Lou Kisiela, Elise Leygnier, Guillaume Marque, et Antoine Morel.
Le bureau de France 2 New Delhi couvre l’actualité de l’Inde et de l’Asie du Sud.
To Learn More:
For a deeper exploration of the tragic stories behind forced adoption and child trafficking in Sri Lanka, including powerful video testimonies and investigative reports, visit our Sri Lanka where we delve into the history of baby farms, fraudulent adoption practices, and the ongoing search for lost families.
Street Babysitter Prank
A girl asks people to watch her baby while she goes to the restaurant and has a good meal with her husband. A good daycare is so hard to find, this method is much easier – and cheaper.